samedi 31 mars 2012
Meeting Nathalie Arthaud au Zénith à Paris le Dimanche 15 Avril à 15 h
Comment s'y rendre . Cliquez sur : Plan d'accès
Un car passera à 13 H 50 précises à l'angle de la RN6 et du carrefour Ecole Vétérinaire Maisons Alfort . Retenez votre place en téléphonant au 06 87 80 68 06.
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vendredi 30 mars 2012
Compte rendu du conseil municipal Alfortville 27 Mars -Suite-
ZAC des bords de Marne :
Suite à la décision de construire une école à la place des
logements prévus à l’angle de la rue Véron et du quai d’Alfortville, le rapport
pour la société d’aménagement (SAERP) passe de 2,8 M€ à 1,35M€. Différence que
doit compenser la ville, ainsi qu’une partie du non versement des sommes que l’Etat
et la région n’ont pas versé pour cette opération immobilière, du fait des
délais. Encore une fois ce sont les habitants qui payent pour les carences de l’Etat.
Dans le document qui nous a été remis la SAERP faisait état du problème du relogement des habitants dont les immeubles sont démolis.
Voici à ce propos ce que j’ai déclaré :
les habitants du 2 rue Véron expulsés fin octobre 2009 |
"Il y avait des dizaines de personnes et de familles qui
habitaient sur le périmètre de la ZAC, rue Véron notamment.
Or dans l’avenant
N°3 , la SAERP ne fait état que d’un total de 7 occupants dont la ville a
demandé le relogement et indique que 5 familles sont actuellement relogées
provisoirement dans un hôtel meublé. Je ne comprends pas que pour une opération
immobilière prévue, programmée de longue date, on en soit à priver des gens de
toit, ou à improviser des relogements dans des conditions les plus précaires,
et qui de plus coutent de l’argent qui va dans la poche des marchands de
sommeil.
Je trouve cela scandaleux. Je pense que la municipalité n’a
pas fait ce qu’il fallait, que son objectif premier devrait être d’offrir des
conditions de logement correctes à toutes ces personnes qui travaillent et ont
de quoi payer un logement à loyer modéré.
Un immeuble, le 5 rue du Parc où habitent plus de 20 familles
va aussi être démoli dans le cadre de cette opération. J’ai déjà évoqué ce
problème ici. Je redemande : Où en est’on du relogement de ces familles.
Qu’on ne me réponde pas « ce sera fait en son temps ». Il faut s’y
prendre en amont. Qu’est ce qui est fait aujourd’hui ?"
L'immeuble du 5 rue du Parc encore habité au milieu du chantier |
Rapport du syndicat des eaux d’Ile de France sur la délégation de service public à Véolia.
J’ai déclaré : "Celles qu’on appelle les 3 sœurs : Suez
(Lyonnaise des eaux), Véolia (Générale des eaux) et la SAUR, depuis la
privatisation du service de l’eau ont une situation de monopole . Depuis 1994
le prix de l’eau a augmenté de 57% en France. « Que choisir » estime
que le prix de l’eau est en moyenne 20% plus élevé dans les villes où la
gestion est privée, par rapport à la régie publique.
La commission Européenne a engagé des poursuites contre les
3 sœurs soupçonnées d’entente et de
formation de cartel pour fixer les prix.
Cela montre la nécessité d’un véritable service public de l’eau
contrôlé par la population."
Subventions aux associations :
Je n’ai pas voté pour
les subventions aux associations à
caractère religieux, ni les subventions à l’école privée Saint-Mesrop.
En fin de conseil
municipal, au nom de la majorité municipale Jean Mayet, responsable à la
culture a fait voter une motion de soutien à l’Orchestre National d’Ile de France
–ONDIF-(basé à Alfortville rue des Ecoles) dont les subventions du ministère
doivent être réduites de 700 000€ dans les années qui viennent.
Ce qui
reviendrait à l’étrangler.
Ce vœu a été adopté à l’unanimité.
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Conseil Municipal
jeudi 29 mars 2012
Résidentialisation Grand Ensemble au conseil municipal d’Alfortville le 27 Mars 2012
Une question portait sur la signature d’une convention de transfert des espaces publics, propriété de la ville, aux bailleurs du grand ensemble.
Voici mon intervention :
« La résidentialisation, telle qu’elle nous a été présentée, ainsi qu’aux habitants du grand ensemble, c’est la privatisation des espaces publics, c’est la pose de barrières et clôtures autour des immeubles, c’est le projet de faire payer les parkings dont le nombre sera de plus réduit.
Les locataires ont déjà exprimé leur opposition aux parkings payants par une pétition, des interventions lors de la réunion d’information, et pour ceux de Valophis massivement lors d’une consultation récente organisée par leur bailleur, tel que l’explique le tract qu’ils ont distribué récemment.
Mais nombreux sont les habitants du grand Ensemble qui expriment leur désaccord avec le projet de clôturage des surfaces autour des habitations et qui craignent que disparaisse le grand espace actuel avec sa liberté de circulation. D’autre part cette privatisation, avec les frais générés par l’entretien des barrières et clôtures en tout genre, se traduira à terme par une hausse des charges pour les locataires.
Je ne voterai pas en faveur de la convention, je demande que l’on consulte les locataires et habitants du grand ensemble. C’est leur cadre de vie, c’est d’abord à eux de donner leur avis »
Boris Milisavlevic du PCF et Patrick Bedrossian de l’UMP sont ensuite également intervenus dans le même sens avant que le nouveau maire Luc Carvounas réponde.
Cela ne fait que confirmer les craintes qu’il y avait à se lancer dans une telle opération qui inclue la démolition de 543 logements, dans un contexte où l’Etat détourne l’argent qui devrait être consacré au logement pour subventionner les banques à coups de milliards. Pour rappel voir déclarations suivantes que j’avais pu faire à ce propos : question conseil Octobre 2008, BMO Octobre 2008
conseil juin 2009 conseil avril 2010
L’Etat se livre à un véritable hold-up sur les finances publiques et c’est la population qui en paye les conséquences. Pour le logement il y a urgence à ce que l’Etat crée un service public du logement en embauchant lui même les travailleurs nécessaires aux grands travaux de construction du million de logements sociaux qui manquent aujourd’hui.
Voici mon intervention :
« La résidentialisation, telle qu’elle nous a été présentée, ainsi qu’aux habitants du grand ensemble, c’est la privatisation des espaces publics, c’est la pose de barrières et clôtures autour des immeubles, c’est le projet de faire payer les parkings dont le nombre sera de plus réduit.
Les locataires ont déjà exprimé leur opposition aux parkings payants par une pétition, des interventions lors de la réunion d’information, et pour ceux de Valophis massivement lors d’une consultation récente organisée par leur bailleur, tel que l’explique le tract qu’ils ont distribué récemment.
Mais nombreux sont les habitants du grand Ensemble qui expriment leur désaccord avec le projet de clôturage des surfaces autour des habitations et qui craignent que disparaisse le grand espace actuel avec sa liberté de circulation. D’autre part cette privatisation, avec les frais générés par l’entretien des barrières et clôtures en tout genre, se traduira à terme par une hausse des charges pour les locataires.
Je ne voterai pas en faveur de la convention, je demande que l’on consulte les locataires et habitants du grand ensemble. C’est leur cadre de vie, c’est d’abord à eux de donner leur avis »
Boris Milisavlevic du PCF et Patrick Bedrossian de l’UMP sont ensuite également intervenus dans le même sens avant que le nouveau maire Luc Carvounas réponde.
- Il a réaffirmé l’accord de la municipalité avec les locataires pour refuser les parkings payants, et en vue de la poursuite de la résidentialisation, a informé d’une rencontre prochaine avec Valophis face à la situation générée par le résultat de la consultation.
- Il a souligné également les retards, dans le cadre du plan de rénovation urbaine, des versements des subventions de l’ANRU, dont les caisses seraient vides.
Cela ne fait que confirmer les craintes qu’il y avait à se lancer dans une telle opération qui inclue la démolition de 543 logements, dans un contexte où l’Etat détourne l’argent qui devrait être consacré au logement pour subventionner les banques à coups de milliards. Pour rappel voir déclarations suivantes que j’avais pu faire à ce propos : question conseil Octobre 2008, BMO Octobre 2008
conseil juin 2009 conseil avril 2010
L’Etat se livre à un véritable hold-up sur les finances publiques et c’est la population qui en paye les conséquences. Pour le logement il y a urgence à ce que l’Etat crée un service public du logement en embauchant lui même les travailleurs nécessaires aux grands travaux de construction du million de logements sociaux qui manquent aujourd’hui.
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vendredi 23 mars 2012
Communiqué du collectif pour le maintien de la gratuité des parkings au grand ensemble d'Alfortville
Voici le tract du collectif que les habitants du grand ensemble ont reçu dans leur boite à lettre.
Quand les locataires prennent leur sort en main.....
Quand les locataires prennent leur sort en main.....
cliquez sur l'image pour lire le tract |
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Prochain conseil municipal Alfortville Mardi 27 Mars 2012
Il est convoqué à 18H30 en
mairie.
36 points à l’ordre du jour dont :
Des travaux dans les groupes scolaires Etienne Dolet, Louise Michel, Lacore Moreau
Effectifs du personnel communal et formation
Indemnités du maire et des conseillers municipaux.
Travaux urbanisme : ZAC des bords de Marne, Résidentialisation Grand Ensemble
Rapports sur la distribution de l’eau, le gaz, l’électricité.
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Conseil Municipal
mardi 20 mars 2012
Meeting Nathalie Arthaud à Paris au Zénith le dimanche 15 Avril
Pour savoir comment y aller cliquez sur : Plan d'accès
Un car passera à 13 H 50 à l'angle de la RN6 et du carrefour Ecole Vétérinaire. Retenez votre place en téléphonant au 06 87 80 68 06.
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lundi 19 mars 2012
Dimanche 18 mars: Election du nouveau maire d'Alfortville
Le conseil municipal extraordinaire pour le passage du relais de René Rouquet à Luc Carvounas, s’est déroulé dans un palais des sports rempli par l'assistance. Après que chaque groupe représenté au conseil se soit exprimé, Luc Carvounas PS a été élu par 33 voix sur 39 conseillers, contre 3 pour Miramont le candidat UMP, et 3 absentions. La liste des 11 adjoints a ensuite été votée par 31 voix.
Voici pour ma part la déclaration que j’ai faite, avant de m’abstenir lors du vote :En tant qu’élu Lutte Ouvrière je tiens à rappeler que l’essentiel des problèmes qui touchent la vie quotidienne des Alfortvillais ne dépendent pas de la gestion communale mais sont liés aux politiques économiques imposées par le grand patronat qui conduisent à la baisse du pouvoir d’achat, au chômage, à la situation dégradée du logement pour une grande partie des classes populaires.
En effet si l’on peut se féliciter des efforts de la municipalité qui ont abouti à des réalisations telles que l’Espace culturel, le gymnase Arielle Viala, le centre Aquatique, les rénovations de groupes scolaires; dans le même temps, du fait des mesures gouvernementales, la population de la ville connaissait la fermeture de la clinique La Concorde avec la maternité, la fermeture de la CPAM Place Allende, des suppressions de postes dans les écoles, à la poste, l’insuffisance des transports.
- La hausse des prix des denrées alimentaires, du gaz, de l’électricité, des carburants, des charges locatives grèvent lourdement le budget des ménages, des salariés, des retraités, dont les revenus ne suivent pas.
- Le chômage et l’emploi précaire touchent une partie importante de la population de la ville et les services sociaux sont de ce fait de plus en plus sollicités.
- L’accès à la santé, à l’éducation est en forte régression, surtout pour la partie la plus pauvre de la population.
Pour sauvegarder à tout prix ses profits, le grand patronat détériore la vie des classes populaires, aidé en cela par tous les gouvernements à son service. Pour multiplier les cadeaux aux classes riches, les finances publiques sont pillées. La taxe professionnelle a été supprimée.
Les collectivités locales doivent supporter des charges supplémentaires, dont toutes ne sont pas financièrement compensés. C’est en cela que la politique mise en œuvre au niveau de l’Etat influe sur les possibilités financières des communes.
Dans quelques semaines nous aurons un nouveau gouvernement. Beaucoup l’espèrent de gauche dans l’espoir de voir la situation s’améliorer, mais sans grande illusion il faut le dire puisque le candidat de gauche qui a une chance d’être élu ne s’engage pas vraiment, surtout pas sur l’emploi et les salaires, même si les voix qui lui permettront d’accéder à la tête de l’Etat sont celles des salariés.
Et le fait que ce candidat, appartenant au courant qui est le vôtre, Messieurs Rouquet et Carvounas, entend payer rubis sur l’ongle la dette aux banquiers aura des répercussions négatives, y compris sur les collectivités locales.
Une municipalité au service des travailleurs se doit de soutenir les plus pauvres et de se fixer des priorités allant dans ce sens. Or dans ce domaine le compte n’y est pas.
Dans une situation où la crise du logement s’aggrave, du fait de la baisse catastrophique des crédits alloués par l’Etat et alors que dans notre commune beaucoup de familles doivent vivre dans des conditions d’habitat indigne, je suis opposé aux démolitions d’immeubles prévues aux Alouettes, dans le cadre du plan de rénovation urbaine.
Comme l’a déclaré Boris il est indispensable d’adopter un arrêté municipal interdisant les expulsions locatives comme cela a été fait dans d’autres municipalités. Je sais qu’un tel arrêté a un caractère symbolique mais il indique un choix, une direction.
Il faut également revenir sur les privatisations de services publics municipaux, telle celle qui a été faite cette année pour la gestion de la piscine.
Il faut que les responsables de la communauté d’agglomération fassent assurer le nettoyage des rues de la ville.
J’approuve bien sûr les efforts faits par la municipalité pour maintenir le niveau des effectifs du personnel communal, ainsi que le subventionnement des associations.
Mais il est nécessaire d’œuvrer pour que les habitants de la commune soient plus entendus. Sur les questions de rénovation urbaine, de mise en place de zones de parkings, de demandes diverses de groupes d’habitants, ce n’est pas le cas. (Comme par exemple pour le comité France Palestine qui s’est vu refusé à plusieurs reprises l’attribution de salles de réunion.)
Pour conclure, je voudrais redire que la vie des classes populaires d’Alfortville changera vraiment quand, au niveau de l’Etat, une autre politique sera mise en œuvre :
• Une politique qui interdirait les licenciements, qui imposerait une augmentation générale des salaires, des retraites et des pensions, ainsi que leur indexation automatique sur la hausse des prix ;
• Une politique qui reviendrait sur la destruction des emplois publics que nous connaissons aujourd’hui.
Cette politique est aux antipodes de celle menée par le gouvernement et soutenue par les représentants du parti au pouvoir, l’UMP, qui siègent à ce conseil. Je ne voterai bien sûr pas pour leur candidat.
Mais cette politique, pourtant vitale, n’est pas portée par le courant auquel appartient la majorité municipale, le parti socialiste.
C’est pour cette raison que je ne voterai pas non plus pour Luc Carvounas et que je m’abstiendrai, tout en souhaitant bien sûr qu’un maximum de mesures soient proposées et adoptées, qui iraient dans le sens d’une amélioration des conditions d’existence des habitants de la commune.
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Conseil Municipal
samedi 17 mars 2012
Manifestation à Choisy et Orly pour la défense de l'enseignement
Enseignants et parents d'élèves des écoles de Choisy et d'Orly ont manifesté nombreux dans la matinée ce samedi pour protester contre les suppressions de postes et l'insuffisance de moyens dont l'école est victime dans ces communes populaires, de la
maternelle au secondaire.
Des manifestants décidés à ne pas laisser passer et à ne pas en rester là .
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vendredi 16 mars 2012
Rassemblement victorieux à la préfecture de Créteil le 15 Mars pour soutenir deux lycéens sans papiers
Vue générale du rassemblement devant la préfecture |
A 14 h 30, ce jeudi 15 Mars devant la préfecture, plusieurs centaines d'élèves soutenus par les enseignants, RESF, la FCPE, la CGT, SUD se sont rassemblés pour clamer leur indignation face aux menaces d'expulsion du territoire de leurs copains Sinaly, du lycée Saint-Exupéry à Créteil, et Mamadou du lycée Jacques-Brel à Choisy-le-Roi.
Ils ont réclamé à corps et à cris l'obtention de titre de séjour afin qu'ils puissent continuer à poursuivre leurs études avec eux, ici en France.
Alors que la campagne des élections présidentielles est marquée par une surenchère de propos racistes et xénophobes, les jeunes qui manifestent pour réclamer des papiers pour leurs camarades de classes montrent que ce qui leur est étranger, ce sont ces idées là.
L'action a été payante. Face à
cette mobilisation, la préfecture s’est engagée à
lever immédiatement les mesures de refus de séjour et à remettre
rapidement un récépissé autorisant à travailler, en attendant que lui
soient fournies des pièces complémentaires permettant la délivrance
d’une carte de séjour « vie privée et familiale ».
Au retour de la délégation, la nouvelle a été accueillie dans une explosion de joie.
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jeudi 15 mars 2012
La mobilisation contre les suppressions de postes dans les écoles du 94 se poursuit
Ce jeudi matin 15 Mars devant le ministère de l'éducation nationale rue de Solférino à Paris, 300 à 400 personnes venues du Val de Marne se sont rassemblées pour protester contre les fermetures de classes et suppressions de postes d'enseignants spécialisés, mesures qui vont toucher particulièrement les enfants des quartiers populaires.
La carte scolaire du 94 prévoit en effet la fermeture de 66 classes et la suppression de 61 postes d'enseignants pour la prochaine rentrée 2012-2013
C'est l'enseignement des enfants des classes populaires qui est délibérément sacrifié !
D'autres initiatives sont prévues.
Voici par exemple l'appel à l'action des écoles de Choisy-Orly pour Samedi 17 mars :
La carte scolaire du 94 prévoit en effet la fermeture de 66 classes et la suppression de 61 postes d'enseignants pour la prochaine rentrée 2012-2013
C'est l'enseignement des enfants des classes populaires qui est délibérément sacrifié !
D'autres initiatives sont prévues.
Voici par exemple l'appel à l'action des écoles de Choisy-Orly pour Samedi 17 mars :
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dimanche 11 mars 2012
Val de Marne : Manifestation le 14 Mars contre la reprise des expulsions de logement
Affiche Lutte Ouvrière |
Différentes associations : travailleurs sociaux, locataires, syndicats, humanitaires
appellent à une
Manifestation Mercredi 14 mars 17 h 30
de l’Eglise de Créteil à la préfecture du Val de Marne.
Extraits de l’appel :
« Dès le jeudi 15 mars les huissiers aidés de la police et à la demande des bailleurs pourront reprendre les scandaleuses expulsions locatives suspendues depuis le 1er novembre dernier. Le cortège des familles, hommes, femmes et enfants jetés à la rue va s’allonger et rien n’est annoncé pour qu’ils soient au moins hébergés, bien au contraire.
L’an dernier des dizaines de milliers de familles ont été chassées de leur logement, des centaines dans notre département.
Les familles ont de plus en plus de difficultés à s’acquitter des loyers, des charges d’électricité, de gaz et d’eau de plus en plus chers.....
Les raisons de ces difficultés résultent des bas salaires, de la précarité, de la baisse du pouvoir d’achat, des loyers prohibitifs, du manque de logements sociaux.
Pendant ce temps, le gouvernement multiplie les cadeaux aux promoteurs immobiliers, ceux qui recherchent le profit, aux dépens du logement social, de sa construction, de son entretien.….
La crise du logement s’accroît et le cortège des demandeurs s’allongent (56.000 en Val de Marne).
.....
Pour toutes ces raisons, nous appelons ... à se mobiliser et à manifester pour le droit au logement, contre la reprise des expulsions."
Lutte Ouvrière appelle à participer à cette manifestation.
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samedi 10 mars 2012
18 Mars : Réunion du conseil municipal pour l'élection d'un nouveau maire à Alfortville
Un conseil municipal est convoqué le dimanche 18 Mars à 11H au Palais des Sports d'Alfortville 6 rue de Rome avec à l'ordre du jour l'élection du maire et des adjoints.
En effet, comme beaucoup d'Alfortvillais en avaient déjà entendu parler, le maire actuel depuis 24 ans, René Rouquet, passe le relais à son adjoint Luc Carvounas.
En effet, comme beaucoup d'Alfortvillais en avaient déjà entendu parler, le maire actuel depuis 24 ans, René Rouquet, passe le relais à son adjoint Luc Carvounas.
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vendredi 9 mars 2012
8 mars : renouer avec les traditions de luttes des femmes !
Communiqué de Nathalie Arthaud :
Alors que le 8 mars est devenu, aujourd’hui, une sorte d’institution officielle appelée « Journée de la Femme », je rappelle que cet événement, créé il y a un peu plus d’un siècle, en 1910, était à l’origine une journée de lutte internationale pour les droits des femmes. Elle fut instituée par la socialiste allemande Clara Zetkin, à l’époque où les socialistes étaient socialistes.
La lutte pour les droits des femmes, ce n’est pas un jour par an, mais tous les jours qu’il faut la mener. Et beaucoup de combats restent à gagner, que ce soit dans les pays où les femmes sont officiellement considérées comme une sous-espèce du genre humain, mariées de force, violées, battues ou voilées ; ou dans les pays comme la France, où l’avortement est menacé, où l’égalité salariale est un mythe, où les femmes sont sous-représentées en politique, et où, dans le domaine familial et domestique, elles continuent d’assumer l’essentiel des tâches.
Et dans la crise, les femmes sont les premières victimes, les premières licenciées, les premières qui subissent les temps partiels imposés, les premières à être payées en dessous du smic.
Tout ce que les femmes ont obtenu pour leur émancipation, elles l’ont gagné par la lutte. Le combat pour la liberté et l’émancipation des femmes fait partie intégrante de mon engagement communiste, et je ne doute pas un instant que les travailleuses seront aux premières lignes des grands combats que devront mener les travailleurs contre leurs exploiteurs et contre un système social porteur d’oppressions.
Des images de la manifestation parisienne :
jeudi 8 mars 2012
Rappel : Rencontres débats avec les militants de Lutte Ouvrière dans les rues d'Alfortville ce samedi 10 Mars
Vous pourrez notamment nous rencontrer de 10 H à 12H
- Place Allende (devant la poste )
- Rue Paul vaillant Couturier, devant la mairie
(cliquer sur le texte pour agrandir l'image)
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Nathalie Arthaud dépose ses parrainages
« Après le dépôt que je viens de faire auprès du Conseil constitutionnel, je dispose maintenant des 500 parrainages d'élus qui me permettront d'être présente dans cette élection présidentielle. Je remercie les maires, qui ne partagent pas forcément mes idées, mais qui me permettent, par ce geste démocratique, d'être candidate.
Dans cette élection, je défendrai un programme de lutte pour le monde du travail, un programme destiné à répondre à la dégradation dramatique des conditions de vie des classes populaires :
- l'interdiction des licenciements et la répartition du travail entre tous sans perte de salaire ;
- l'augmentation générale des salaires et des retraites et l'échelle mobile des salaires et des pensions ;
- le contrôle de toute la population sur les comptes des entreprises et la levée du secret industriel, commercial et bancaire.
Déclaration faite devant le Conseil constitutionnel le mercredi 7 mars
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mardi 6 mars 2012
Le 8 mars, manifestons pour les droits des femmes
Dans un certain nombre de pays, les femmes ont conquis les mêmes droits que les hommes. Partout dans le monde, elles sont victimes de discriminations et de violences. Et dans bien des cas l'égalité juridique formelle est loin d'être entrée dans les faits et dans les mœurs.
En France, l'écart de salaire entre les hommes et les femmes, loin de se réduire, a eu tendance à augmenter avec la crise. L'exercice par les femmes de leur droit à l'interruption volontaire de grossesse est devenu une course d'obstacles. Et chaque année entre le cinquième et le quart des homicides concernent des femmes victimes de violences conjugales.
Partout, la lutte pour le droit des femmes est plus que jamais d'actualité.
À l'occasion de la Journée internationale de lutte pour défendre les droits et les revendications des femmes, Lutte Ouvrière appelle à participer à la manifestation appelée par un grand nombre d'associations, de syndicats et de partis ou organisations politiques,
Jeudi 8 mars, à 18 h 30, à Paris, de la place de la Nation à la place de la Bastille
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vendredi 2 mars 2012
Pour le droit au logement, contre la reprise des expulsions, Manifestation à Paris le 10 Mars
Extrait du journal Lutte Ouvrière du 24 Février 2012
À l'occasion de ce drame, on a pu lire dans la presse qu'il s'agissait d'un « cas exceptionnel », d'une « famille très difficile et hors norme »... Peut-être. On a aussi appris qu'entre les hébergements d'urgence, les expulsions et les squats, cette femme et ses enfants se trouvaient sans toit stable et digne de ce nom depuis une dizaine d'années.
Ça, c'est l'effroyable réalité : celle que cherchent à masquer les discours hypocrites sur le droit au logement ou la lutte contre l'extrême précarité."
Samedi 10 Mars, à la veille de la fin de la période de trêve hivernale manifestons à 14H30 Place de la Bastille à Paris, pour le droit au logement et contre les expulsions.
"Cela a fait quelques lignes dans les journaux, une « brève » aux actualités télévisées régionales : le 15 février, une mère de six enfants s'est immolée par le feu en public à Saint-Denis, en banlieue parisienne. Le lendemain, elle décédait de ses blessures. N'ayant pour vivre qu'une chambre dans un hôtel d'urgence, et cela seulement jusqu'au 15 mars, la désespérée voyait venir avec angoisse la fin de la « trêve hivernale ».
À l'occasion de ce drame, on a pu lire dans la presse qu'il s'agissait d'un « cas exceptionnel », d'une « famille très difficile et hors norme »... Peut-être. On a aussi appris qu'entre les hébergements d'urgence, les expulsions et les squats, cette femme et ses enfants se trouvaient sans toit stable et digne de ce nom depuis une dizaine d'années.
Ça, c'est l'effroyable réalité : celle que cherchent à masquer les discours hypocrites sur le droit au logement ou la lutte contre l'extrême précarité."
rue du Parc où il y a des logements indignes et des locataires sommés de partir |
A Alfortville aussi des personnes, des familles voient arriver avec angoisse le 15 Mars, fin de la trêve hivernale.
Menacées d’expulsion soit parce que le propriétaire veut récupérer son appartement, soit parce que le logement est frappé d’une mesure de fermeture pour cause d’insalubrité, soit pour dette de loyer suite à chômage, séparation, accident…
Dans tous les cas les locataires se heurtent depuis des mois, voire des années, à des fins de non recevoir pour un relogement, étant donné le manque criant et général de logements.
D’autre part sur la ville, les attributions de logement dans le secteur social sont bloquées en raison du relogement des locataires dont les appartements vont être démolis dans le cadre du plan de rénovation urbaine.
Samedi 10 Mars, à la veille de la fin de la période de trêve hivernale manifestons à 14H30 Place de la Bastille à Paris, pour le droit au logement et contre les expulsions.
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