samedi 28 mars 2020

Coronavirus et travail: la galère quotidienne d’un éboueur, de Paris à Alfortville


Article de 94 Citoyens
   
Tous les jours, Christian (prénom changé) passe 6 heures dans les rues de la capitale à vider les corbeilles publiques dans un camion-poubelle. Employé par la Sepur, l’un des prestataires de la mairie de Paris, basé à Alfortville, l’éboueur craint d’être infecté par le coronavirus Covid 19, faute de protection suffisante.

   Depuis plusieurs années, Christian arpente les rues de Paris à l’arrière d’un camion-poubelle. Ripeur, il vide les sacs d’ordures pendant six heures, entrecoupées d’une vingtaine de minutes de pause. Il y a quelques mois, la Sepur (Société d’Entretien et de Propreté Urbaine) a recruté l’éboueur expérimenté après avoir remporté un marché public de collecte de déchets de la mairie de Paris. Ses tournées débutent et se terminent dans la zone d’activité Val de Seine, dans le sud d’Alfortville, où la société a installé l’un de ses centres de tri en 2009.

   Alors que l’épidémie de coronavirus Covid 19 a conduit au confinement généralisé et au matraquage de messages sur les gestes barrière, l’agent s’inquiète de la difficulté de les respecter dans son métier. «Les axes routiers sont plus fluides mais il y a du monde sur les trottoirs. Les gens toussent, éternuent. Nous retrouvons beaucoup de mouchoirs et de masques de protection usagés. Les corbeilles ne sont pas fermées donc dès que c’est plein, il y en a partout», décrit-il.

   Des masques et des combinaisons jetables, voilà ce que voudrait Christian et ses collègues pour aller bosser sereinement. «Tous mes collègues ont peur d’attraper quelque chose. Nous avons une paire de gants en latex mais c’est loin d’être suffisant. Nous aimerions avoir des masques, des combinaisons jetables ou encore une prime de risque mais nous n’obtenons rien. Ils pensent que nous sommes des machines», poursuit l’éboueur.

   Au sein de son dépôt, Christian raconte comment du jour au lendemain, son chef, dont l’état de santé s’est subitement dégradé, a été mis en arrêt de travail. Un mécanicien aurait également été renvoyé chez lui. «Notre hiérarchie ne nous a pas avertis. Par contre, le jour suivant le départ du mécanicien, le personnel travaillant dans les bureaux s’est mis en télé-travail!», déplore-t-il.

   Craignant d’être infecté, des agents ont demandé à leurs responsables à minima du gel hydroalcoolique. «Il m’ont donné une petite bouteille avant de partir en tournée. Lorsque j’ai eu besoin de m’en servir, je me suis rendu compte que c’était du savon liquide. J’ai donc terminé la journée de travail avec les mains collantes. Ils ne prennent pas du tout la situation au sérieux. Je doute même qu’ils désinfectent les camions mais on ne sait rien», décrit l’éboueur.

   Pour le ripeur, les agents de propreté ne sont pas traités dignement. Et de constater également le manque de considération dans les permanences de Paris où ils doivent récupérer leur plan de tournée et venir signer au début et à la fin de la collecte. «Désormais, ils interdisent aux ripeurs d’entrer dans les locaux. Il n’est plus possible non plus d’aller aux toilettes, alors, nous sommes obligés de le faire dans la rue».

   En fin de journée, Christian tente de se désinfecter en rentrant chez lui, mail il reste toujours inquiet d’avoir ramené le virus.

Une pétition pour réclamer des protections

   C’est dans ce contexte que les éboueurs de l’agence d’Alfortville ont lancé une pétition en ligne à l’attention du ministre de la Santé pour demander davantage de considération à leur égard et du matériel de protection adéquat. «S’ils continuent à être oubliés, au fur et à mesure, avec les rues vides de voiture, vides de population, les rats, les souris vont sortir le jour et vont s’occuper de nos poubelles sous nos yeux à nos fenêtres, nous qui sommes confinés», avertissent-ils.

 https://94.citoyens.com/2020/coronavirus-et-travail-la-galere-quotidienne-dun-eboueur,27-03-2020.html

mercredi 25 mars 2020

Les nettoyeurs envoyés au front sans protection !


Les salariés de la SEPUR Entreprise de Propreté à Alfortville chargés du ramassage des déchets dans les rues de Paris doivent travailler sans aucun équipement de protection contre le coronavirus.

Alors qu’ils ramassent les sacs souillés et remplis de mouchoirs usagés, il n’y a pas de masques, ni de vêtements dédiés, aucune désinfection, pas de produit de nettoyage. Les patrons ne fournissent aucun matériel. D’ailleurs ils ne sont pas là. Tous les responsables sont en télétravail chez eux. Le gouvernement parle de primes, mais rien n'est prévu pour ceux de Sépur.

Quant au donneur d’ordre, la mairie de Paris, ils se déchargent sur les entreprises sous-traitantes. Les WC publics et les cafés étant fermés, les ouvriers toute la journée dans les rues de Paris, n’ont rien pour faire leurs besoins.
« On doit se cacher pour pisser contre les arbres » disent-ils. Dans l'atelier du 5eme la ville à refusé les toilettes à un salarié.

Plusieurs sont malades du covid-19. Un est chez lui avec 40°C, plusieurs autres l’ont côtoyé. Rien n’est fait pour les informer, vérifier s’ils sont infectés ou non, éviter qu’ils contaminent d’autres, des passants dans les rues de Paris ou leur famille.

Voilà un des aspects des conditions réelles de travail de ceux dont l’activité est nécessaire à la propreté et au maintien des conditions sanitaires pour la population.

Au lieu de mettre tous les moyens à disposition de ces travailleurs, le gouvernement laisse les grosses entreprises comme Airbus, Safran et autres se procurer des masques pour faire construire des avions ou des matériels non utile face à la crise sanitaire, et envoie ces salariés au casse pipe.
Même chose pour la société URBASER de Vitry sur Seine qui intervient aussi sur Paris.

Merci de relayer au maximum pour dénoncer cette situation révoltante.

jeudi 19 mars 2020

CORONAVIRUS : LES DÉFIS D’UNE PANDÉMIE, LA FAILLITE D’UNE ORGANISATION SOCIALE


16/03/2020
Comme toute épidémie, celle du coronavirus est un défi lancé à la société. Mais elle révèle aussi l’irresponsabilité de notre organisation économique et sociale. Quant au mépris de classe, il suinte par tous les bouts.
Face à la catastrophe, le gouvernement a pris des mesures inédites en fermant crèches, écoles, collèges, lycées, facultés ainsi que tous les lieux de sociabilité. Et lundi soir, Macron a encore appelé à réduire les déplacements au nécessaire et à rester chez soi. Ces mesures sont compréhensibles.
Mais quand Macron déclare que la santé doit passer avant tout le reste, il y a de quoi être en colère. Depuis qu’il est au pouvoir, c’est la santé des profits et des banquiers qu’il a fait passer avant tout le reste, exactement comme l’avaient fait tous ses prédécesseurs. Et aujourd'hui, pour beaucoup, le mal est fait !
On le voit avec ce qui se passe à Mulhouse et à Colmar : les hôpitaux sont incapables d’encaisser le choc d’un trop grand afflux de malades. Ils remettent à plus tard des interventions importantes, renvoient des malades chez eux et font prendre de plus en plus de risques à leur personnel.
Et Macron ne peut pas dire qu’il ne savait pas car cela fait des mois que le personnel hospitalier tire la sonnette d’alarme. Cela fait des années que l’on déplore les déserts médicaux. Des années aussi que les chercheurs, y compris en virologie, dénoncent la baisse de leurs moyens. Aujourd'hui, la catastrophe est là.
Le personnel des hôpitaux est en première ligne. Nul doute que les ambulanciers, aides-soignantes, infirmières, médecins… feront leur maximum et travailleront jusqu’à l’épuisement. Mais ils n’ont jamais voulu jouer « les héros en blouse blanche ». Tout ce qu’ils demandent, ce sont des moyens matériels et humains qui n’arrivent toujours pas malgré la « mobilisation » !
En deux mois, qu’est-ce que le gouvernement a organisé, planifié pour fournir le système de santé en respirateurs, masques ou gel hydroalcoolique ? Il y a une semaine, Le Maire a fait un plan d’urgence pour les entreprises et les financiers. Où est celui susceptible de répondre aux besoins matériels et humains des hôpitaux ? Jusqu’à lundi, on fabriquait encore des voitures, des armes ou des cosmétiques, mais toujours pas de masques ni de gants en quantité suffisante !
Quant aux travailleurs, le gouvernement fait comme s’ils étaient résistants au coronavirus car les mesures de confinement drastiques ne s’imposent toujours pas aux entreprises non vitales.
Ce lundi, des millions d’ouvriers de l’industrie ou du bâtiment, des employés, des caissières ou des agents d’entretien ont dû aller au travail et combien le seront encore cette semaine ? Combien devront encore prendre les transports en commun ? Combien se retrouveront confinés à 100, 200, 500… dans des ateliers ou des grandes surfaces ? Et pour faire suer des profits aux travailleurs, aucun patron n’exige un mètre de distance ! Et ne parlons pas de nettoyer ou désinfecter les postes de travail !
On le vit tous les jours, mais cette épidémie le confirme : quand on fait partie des exploités, on n’est rien de plus que de la chair à profits !
Et comme toujours dans cette société, les plus riches auront bien plus les moyens de se protéger. Rester confinés dans leurs belles propriétés ne leur posera d’ailleurs pas de problème et ils n’auront pas le souci d’avoir leur compte bancaire à découvert.
Les salariés les plus précaires risquent, eux, de se retrouver dans une situation dramatique. Combien vont perdre les quelques heures de travail qui leur permettaient de vivre ? Combien vont devoir se battre pour faire respecter leur droit à garder leurs enfants et pour être indemnisés ?
Le Maire explique que les entreprises seront aidées, et pour ça, nous pouvons le croire. Mais il ne s’est pas engagé à ce que l’État compense la perte de salaire pour ceux qui, au chômage partiel, ne toucheront que 84 % du net. Eh bien, c’est ce mépris de classe qui provoquera tôt ou tard l’explosion sociale !
Aujourd'hui nous payons pour un système où les intérêts de la bourgeoisie passent toujours avant ceux des exploités et de la collectivité. Nous payons l’incurie de nos dirigeants aveuglés par les lois du marché, du profit et de la propriété. Eh bien, il ne faut plus que les travailleurs se laissent faire !
Les entreprises non indispensables doivent être fermées. Les emplois et l’intégralité des salaires, primes comprises, doivent être garantis à tous les travailleurs, y compris ceux en CDD ou en intérim ! Tous les moyens doivent être mobilisés pour les hôpitaux et la santé publique. Se protéger du coronavirus et éradiquer le virus du profit et de la rapacité patronale font partie du même combat.
imp.Spé.LO

lundi 16 mars 2020

Résultats des élections municipales alfortville 1er tour:


Inscrits 24118
votants 8908
Exprimés 8550
Carvounas  4873  56,99%
Rosemblum (Macron) 1176 13,75%
Lara BaKech (Alfortville pour tous) 1170 13,68%
Tartaud Gineste (LR) 1082 12,67 %
Franck Gilleron (LO) 249 2,91 %


La liste Carvounas ayant obtenu plus de 50%,  il n'y a qu'un seul tour


En votant pour la liste « Lutte ouvrière – Faire entendre le camp des travailleurs » à Alfortville, 249 électrices et électeurs du monde du travail, soit 2,91 %, ont pu exprimer leur rejet des partis au gouvernement et leur refus des partis d’opposition qui convoitent leur place.
Les uns comme les autres ont en commun de préserver l’ordre social. Lorsqu’ils sont à la tête de l’État, les uns comme les autres gouvernent au profit de la classe privilégiée.
Le vote des électeurs de Lutte ouvrière est un geste politique important pour l’avenir. Il témoigne de la présence d’un courant politique qui conteste la dictature du grand capital et qui est convaincu qu’il est nécessaire de la renverser.
Ce courant reste modeste, mais sa présence est un gage pour la renaissance d’un mouvement ouvrier révolutionnaire.
Le seul moyen d’empêcher le capitalisme en crise d’entraîner toute la société dans sa faillite est que renaisse le mouvement ouvrier révolutionnaire, pour combattre jusqu’au bout le pouvoir de la grande bourgeoisie et de son État.
L’épidémie de coronavirus elle-même, que les hommes finiront par maitriser, met en lumière les ravages de l’organisation capitaliste de la société. La course à la rentabilité et aux économies démolit depuis des années le système hospitalier. Il est de moins en moins à même de faire face à ses tâches ordinaires et, à plus forte raison, à l’imprévu.
Le gouvernement réduit aujourd’hui les activités sociales et éducatives, fait fermer les cafés restaurants, cinémas. Mais, dans l’industrie, par exemple dans l’aéronautique ou l’automobile, les chaînes de production continuent de tourner encore ce lundi, au mépris de la santé des salariés qui prennent les transports et sont regroupés, parfois à plusieurs milliers, pour le profit de Renault, PSA, Safran ou Airbus.
On manque de masques, de gel hydro-alcoolique, de respirateurs, mais il faut produire des voitures et des avions ! Ce mépris de classe provoquera peut-être l’explosion sociale.
La crise boursière découlant de l’agitation spéculative des groupes financiers, est une menace plus grave encore que le coronavirus. Elle est l’expression de la faillite du système économique et social actuel.
La renaissance d’un mouvement ouvrier révolutionnaire, indispensable pour combattre et vaincre la dictature du capital, n’est pas une affaire électorale. Elle exige l’irruption des exploités sur la scène politique.
Nous tenons à remercier tous ceux qui ont voté pour la liste « Lutte ouvrière – faire entendre le camp des travailleurs », et nous en appelons à tous ceux qui se sont reconnus dans la politique qu’elle a défendue, pour qu’ils apportent leur contribution à ce que le « camp des travailleurs » se donne un parti qui représente ses intérêts de classe et qui se donne pour but l’émancipation de la société.

vendredi 13 mars 2020

Votez pour votre camp, le camp des travailleurs



Soutien de Daniel Pétri à la liste conduite par franck Gilleron Alfortville


Si cela peut aider, la liste LO peut faire état de mon appui : 

« Je propose à tous les habitantes et habitants que je connais de voter pour la liste présentée par Lutte ouvrière. Je lui apporte mon soutien inconditionnel, compte tenu du fait qu’au premier jour, les militantes et militants de LO se sont mis à la disposition du mouvement en gilet jaune, que leur liste est la seule liste indépendante, irréductiblement opposée à Macron et ses réformes et à la politique du Logement de la Municipalité sortante. Ensemble, nous pouvons gagner »
  
Daniel Petri – ancien conseiller municipal (2001-2008)- cheminot retraité.

mardi 10 mars 2020

Réunion publique Jeudi 12 Mars

La Liste "Lutte Ouvrière-Faire entendre le camp des travailleurs" Alfortville conduite par Franck Gilleron cheminot et Dominique Bignard assistante informatique organise une réunion publique
jeudi 12 Mars à 19H.

Ecole Bérégovoy 2 mail Jacques Prévert (entrée côté quai de Seine, au niveau de la passerelle) Alfortville Bus 103 Arrêt Charles de Gaulle.
Venez nombreux .

lundi 9 mars 2020

Les candidats de la liste "Lutte Ouvrière-Faire entendre le camp des travailleurs" à Alfortville


Alfortville, voici la liste des candidats "Lutte Ouvrière-faire entendre le camp des travailleurs aux élections municipales du 15 Mars 2020"

Num Prénom NOM Profession

1 Franck GILLERON Cheminot
2 Dominique BIGNARD Assistante en informatique
3 Guy MOUNEY Retraité de la métallurgie
4 Mai TRAN Professeure des écoles
5 Frédéric FABRE Enseignant
6 Martine FREISZ Cheminote
7 Medjid MOUHOUB Éducateur
8 Sandra FERRANDEZ Cheminote
9 Yann THEVENET Étudiant
10 Josiane BOUCHENEZ Retraitée de la métallurgie
11 Djibirire DIALLO Frigoriste
12 Brigitte SERY Auxiliaire de vie
13 Manuel THEMISTA Archiviste
14 Marie-José VOLTIGEUR Employée retraitée
15 Kalos ARSLAN Chauffeur accompagnateur
16 Charlotte SCIANNAMEA Enseignante
17 Abdoulaye GADJI Cheminot
18 Mireille TRAORE Secrétaire médicale
19 François TURAY Ouvrier de maintenance
20 Yerçanik BALIKCIYAN Vendeuse
21 Thibault MARTIN Régulateur commercial
22 Honorine LITONDIKA Lingère retraitée
23 Michel AMY Imprimeur
24 Déborah DOLOIRE Hôtesse de caisse
25 Pierre CHATELLAIN Cheminot
26 Jacqueline GONNOT Retraitée des assurances
27 Jacques OKOMBI Enseignant retraité
28 Béatrice PUPIN Assistante ingénieure
29 Vincent TIERCELIN Cheminot
30 Marie-Line DESIDERI Enseignante
31 Ibrahima GAKOU Cariste
32 Taoues OUSSAID Mère au foyer
33 Hadj-Ahmed CHEMLAL Cheminot
34 Roselyne COATANTIEC Commerciale restauration ferroviaire
35 Patrice GONNOT Employé d'assurance
36 Marie TABURET Professeure des écoles
37 Mathieu CORDARY Urbaniste
38 Sylvie BAUDUIN Bibliothécaire
39 Bertin RAUZDUEL Aide-soignant retraité
40 Rahamata ALI M'BAE Retraitée de la restauration
41 Philippe BARTY Cheminot
42 Eden PAJOR Assistante d'éducation
43 Dominique VILLARROYA Retraité imprimeur
44 Joëlle TERCINET Retraitée peintre en bâtiment
45 Marc ISIDORI Enseignant

lundi 2 mars 2020

Réunion liste lutte ouvrière-Faire entendre le camp des travailleurs Vendredi 6 Mars

Communiqué envoyé à la presse

La Liste  Lutte Ouvrière-Faire entendre le camp des travailleurs Alfortville organise une réunion vendredi 6 Mars à 19H. Ecole Bérégovoy 2 mail Jacques Prévert (entrée par rue Véron) Alfortville Bus 103 Arrêt Charles de Gaulle.
 Ce sera pour parler luttes des travailleurs et pas pour développer catalogue de promesses électorales.


Franck Gilleron
Dominique Bignard

dimanche 1 mars 2020

13 listes Lutte Ouvrière dans le val de Marne

Communiqué de Lutte Ouvrière le 1er Mars 2020
13 listes : "Lutte Ouvrière-Faire entendre le camp des travailleurs" sont présentes dans le Val de Marne. Les têtes de listes ont été présentées lors de la soirée-banquet de Lutte Ouvrière le samedi 22 Février à Maisons-Alfort. Ce sont :
Alfortville : Franck Gilleron cheminot
Arcueil : Robert Larcher cheminot retraité
Choisy le Roi : Josefa Torrès technicienne de laboratoire
Créteil : Daniel Gendre postier retraité
Fontenay sous bois : Anne Saintier Technicienne de laboratoire en Hôpital
Ivry sur Seine : Gisèle Pernin Employée retraitée
Le Kremlin Bicêtre : Nicolas Petillot Enseignant
Maisons Alfort : Amandine Cheyns Enseignante
Orly : Valérie Barraud Institutrice
Thiais : Pascal Boutet Technicien Aéronautique retraité
Villejuif : Agathe Martin Cheminote
Villeneuve Saint Georges : Lucien Noaile cheminot
Vitry sur Seine : Sandrine Ruchot Technicienne de laboratoire
Dans les élections municipales les listes lutte ouvrière au nombre de 260 dans le pays veulent permettre aux travailleurs de faire entendre leur colère contre la politique menée par les gouvernements successifs en faveur des riches et des patrons.
Les bas salaires, le chômage, la précarité, les retraites attaquées, les services publics à l'abandon, pendant que les grandes fortunes augmentent à l'autre bout de la société, voilà ce que les travailleurs devront changer par leur lutte. On ne pourra pas enrayer les catastrophes sociale, économique et écologique sans arracher le contrôle des entreprises des mains des capitalistes.
Notre programme municipal, c’est de faciliter l’organisation des travailleurs de la commune à travers tous les combats collectifs qu’ils doivent mener pour vivre.
Pour l'ensemble des listes de la région parisienne, un meeting aura lieu samedi 7 Mars à 16H Salle de la Mutualité à Paris avec Nathalie Arthaud et Jean-Pierre Mercier.