vendredi 28 septembre 2012

Prochain conseil municipal d'Alfortville


Il est repoussé au Lundi 8 Octobre.
------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------

Docteur Poupardin : décision le 24 octobre 2012



    Ce  médecin de Vitry était convoqué ce mercredi 26 septembre devant le Tribunal des Affaires de Sécurité Sociale à Créteil. Un rassemblement de soutien a eu lieu auquel étaient présents des élus et représentants de syndicats et partis politiques. Une délégation de Lutte Ouvrière avec Arlette Laguiller y a participé.

    La CPAM du 94 réclame au docteur aujourd’hui à la retraite 2612 € de compensation de préjudice, et une amende de 4000 €  pour avoir refusé l’application des ordonnances bizones qui obligent à séparer les médicaments remboursés à 100 % dans le cadre d’affections de longue durée de ceux prescrits pour une maladie considérée comme ne relevant pas de la même pathologie, même contractée au même moment.

   La décision du TASS a été remise au 24 octobre 2012.

-----------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------

Nathalie Arthaud dans les médias



Une fois n’est pas coutume : Elle sera sur :
L’invitée de l’émission : Le oui / non de Michel Field
Mardi  2 octobre 2012 à 18h30

-------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------

Les travailleurs de Sanofi dans l’action à Alfortville


  Une nouvelle mobilisation pour s'opposer aux suppressions d'emplois  a eu lieu ce jeudi 27 septembre dans tous les établissements du pays, dans le cadre des Jeudis de la colère, rendez-vous instauré par les syndicats depuis plusieurs semaines. 

 

badge des manifestants

    Dans le Val de Marne, l’intersyndicale de Vitry-Alfortville (CGT, CFDT, CFTC, CFE-CGC, Sud chimie et SD) a appelé à un débrayage à 12h30 avec distribution de tracts à la population, cette fois-ci sur le site d’Alfortville.

 

  Les salariés de Sanofi s'opposent à  ce nouveau plan qui vise à réduire encore les effectifs dans un groupe qui fait des profits par milliards. Ils dénoncent le tour de passe-passe de la direction qui minimise les chiffres en parlant  de 900 suppressions de postes, mais en laissant de côté le site de Toulouse dont la fermeture est toujours envisagée. Au total, cela ferait donc plutôt 1500 emplois supprimés.

 

 

dimanche 23 septembre 2012

Meeting Lutte Ouvrière avec Nathalie Arthaud à Montreuil

plus d'infos cliquez sur :  Vendredi 5 Octobre 2012 à 20H30



Espace Paris Est
128, rue de Paris
Montreuil (Seine-Saint-Denis)
Métro : Robespierre (ligne 9). 
                  Entrée libre

samedi 22 septembre 2012

Soutien au docteur Poupardin de Vitry convoqué devant le tribunal

  Article du journal Lutte Ouvrière du 21 Septembre 2012

« Les malades doivent pouvoir se soigner selon leurs besoins et non selon leurs moyens »

  
     Le docteur Didier Poupardin, médecin généraliste à Vitry-sur-Seine en région parisienne, est poursuivi devant le tribunal des affaires sociales de la Sécurité sociale par la direction de la Caisse primaire d'assurance-maladie du Val-de-Marne (CPAM 94). Elle l'accuse de lui avoir causé un « préjudice » de 2 612 euros, une somme correspondant, d'après elle, à ce que l'Assurance-maladie n'aurait pas dû rembourser mais que les patients auraient dû régler pour l'achat de médicaments.
     En effet, la direction de la CPAM reproche au docteur Poupardin de rédiger les ordonnances de ses patients atteints d'affections de longue durée (ALD) de manière « non conforme ».
     Le traitement des ALD est pris en charge à 100 %. Mais depuis 1986, l'administration a mis en place, dans le concert des mesures destinées à faire des économies sur le dos des assurés sociaux, des ordonnances spécifiques. Ce sont des ordonnances dites « bizones » où les médecins doivent inscrire, dans la zone du haut, les médicaments de l'ALD et donc remboursés à 100 % et, dans celle du bas, ceux qui n'auraient pas de lien direct avec l'ALD et qui ne sont remboursés qu'à 65, 35, voire 15 %.
   

jeudi 20 septembre 2012

Sanofi Vitry-Alfortville : Les salariés manifestent contre les suppressions d’emplois dans le groupe.


Devant le centre de recherche de Vitry le 20 septembre .....

    Le groupe Sanofi c’est la première entreprise pharmaceutique en Europe. 
   Sur la période 2009-2011 en 3 ans c’est 26 milliards de bénéfices, et c’est en même temps plus de 4000 suppressions d’emplois.

   Le centre de recherches de Vitry-Alfortville a perdu 300 emplois directs, sans compter les conséquences pour les sous-traitants. 
   L’usine de production de Vitry ne compte plus que 400 emplois au lieu de 800 en 2008.
 

  Mais ce n’est pas encore assez pour les actionnaires qui veulent voir passer leurs dividendes de 35 à 50% des bénéfices : Le 5 juillet dernier un nouveau plan a été annoncé touchant la recherche, la production de vaccins, les fonctions support avec des milliers d’emplois qui seront supprimés. 


....et manifestation vers le centre de production quai J.Guesde
   La fermeture du site de Toulouse est dans les projets, avec 640 emplois détruits, ainsi que 200 salariés de la recherche sur le site de Montpellier également touchés comme de nombreux autres dans tous les centres du groupe. Le 25 Septembre un CCE est convoqué.

   Depuis le début de l’été des manifestations de protestation,« Les jeudis de la colère », ont lieu dans un grand nombre de sites tous les jeudis midi. 

     A Sanofi comme partout les travailleurs ne peuvent compter que sur leur lutte pour ne pas être réduits au chômage, et pas sur le gouvernement qui après quelques belles paroles se range du coté des patrons.

mardi 18 septembre 2012

Pas nette la planète !



    Le patron de l’ex-société LGD (le joueur de poker Patrick Buéno) qui avait accumulé une montagne de déchets nauséabonds et fumants de 25 mètres de haut à Limeil-Brévannes, avant de se déclarer en faillite ne déboursera pas un sou pour réparer les dégâts causés.
La montagne de déchets abandonnés : le responsable n'a rien eu à payer

   Il a finalement vu sa condamnation initiale réduite à quasiment rien par la cour d’appel.

    Il s’en sort avec la peine ridicule de 10 000 € avec sursis plus une contravention de 1000 € aussi avec sursis alors que le coût de l’évacuation de ses 160 000 m3 de saletés dont 900 m3 amiantés a été de près de 20 millions d’euros payés entièrement par l’Etat, c’est à dire nos impôts.


   Pourtant l’argent que ce patron s’est fait sur le business du traitement des ordures n’est certainement pas parti en fumée. 

  Et la moindre des choses aurait été qu'il paye pour l'évacuation des déchets dont il est responsable de l'accumulation. Il en avait et il en a toujours les moyens !

  Mais dans cette société, la justice passe tandis que les patrons continuent à exercer leurs méfaits dans la plus scandaleuse des irresponsabilités vis-à-vis de toute la population.