jeudi 27 février 2014

Meeting de Lutte Ouvrière pour les élections municipales Mutualité Paris 7 Mars 2014


Communiqué de Lutte Ouvrière

  Le gouvernement laisse les mains totalement libres au grand patronat. Celui-ci peut licencier, fermer les usines, augmenter les charges de travail et bloquer les salaires pour accroître toujours plus ses profits. Toutes les exigences patronales ont été exaucées.

   Même si le scrutin qui vient est celui des élections municipales, le prétendu caractère local de ces élections est une duperie. Et le résultat de ces élections aura un sens politique à l’échelle nationale.

   Les élections qui arrivent doivent être l’occasion de faire entendre une opposition ouvrière à l’offensive patronale et à la politique gouvernementale.

   C’est avec cet objectif que Lutte Ouvrière a constitué près de 200 listes dans les grandes villes, les villes ouvrières et les banlieues populaires du pays. Ces listes s’intituleront toutes : « Lutte Ouvrière - Faire entendre le camp des travailleurs ». Et lors des élections européennes qui suivront, Lutte Ouvrière présentera aussi partout des candidats sous le même drapeau.

   Pour l’Île-de-France, Lutte Ouvrière organise une réunion publique le vendredi 7 mars à 20h30 rassemblant les candidats conduisant les 71 listes Lutte Ouvrière en région parisienne, et où Nathalie Arthaud et Jean-Pierre Mercier prendront la parole.

mardi 25 février 2014

Logement social : la réalité de la situation pour les locataires

 Message adressé à la mairie le 6 Février. 
24 Février, toujours sans réponse.

    "Je suis passé mardi (4 Fév) dans l'après midi rendre visite à des locataires du 1 redoute des petits carreaux.

    J'ai constaté que la température "ressentie" dans les appartements  était plutôt fraiche malgré la clémence de la météo. Dans certaines chambres que j'ai pu visiter on ressent de l'humidité. Et ce n'est pas qu'une impression. Sur certains murs l'humidité est bien réelle. J'ai pris des photos où l'on voit de la moisissure sur du papier peint.
    Par ailleurs j'ai pu constater que des tuyauteries d'écoulement d'eaux usées sont dans un trés mauvais état et ont des fuites. J'ai aussi pris des photos.

    Je joins à ce message quelques unes de ces images. (images 1&3 fuites sur canalisations évacuation eaux usées. image 2 l'eau imbibe totalement papier peint couvert de moisissures noires sur partie du mur près de la fenêtre.)
    Je ne comprends pas que malgré les nombreux signalements des locataires, l'information ne débouche sur aucune intervention sérieuse de la part de Logial.

    Comment peut-on laisser se détériorer les choses à tel point, et un tel mépris des locataires !
    Le parc immobilier social mérite mieux que d'être laissé dans un tel état de dégradation".

 Guy Mouney 

image 1
image 2
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    Depuis,  les problèmes de température n'ont pas été améliorés. Dans les logements de Valophis du grand ensemble les problèmes sont similaires: température insuffisante. Dans les logements de Logial des Alouettes Chantereine (sente de Villiers) c'est la même chose.
    Malgré les réclamations des locataires, rien n'est fait. Les bailleurs se contentent de répondre que la température est conforme aux règlement. Ce qui est se moquer du monde.
    Autre exemple de leur attitude méprisante : Depuis Vendredi 22 Février, toute une partie des espaces publics du Grand Ensemble est sans éclairage. 
    Pourtant les charges à payer ne cessent d'augmenter.

Sur ces questions , extraits de courriers de locataires : 



 « ……depuis déjà vendredi 22-02-2014 nous n'avons plus aucun éclairages dans les allées du grand ensemble du Douanier Rousseau jusqu' au Franprix à l'autre extrémité (soit toute la cité HLM) . Les services d'Astreinte du week-end ont été contactés :

…….. ,nous sommes Lundi tout les éclairages sont encore et toujours en panne ! »

 « à peine 18° dans les chambre ce matin alors que la journée nous avions plein soleil ! »

 « Au final rien est fait !! Et pourtant on paye toujours et toujours plus chère d'année en année. »

    Les organismes bailleurs confrontés  aux problèmes des baisses de subventions et d'investissements de l'Etat en matière de logement laissent l'habitat social se dégrader et font payer les locataires par la hausse des charges et la baisse de la qualité des prestations. Par contre ils ne réduisent pas les opérations de "communication" en tout genre aussi onéreuses qu'inutiles.
    Voilà la réalité de la situation. Inacceptable !


jeudi 20 février 2014

Notre candidature à Alfortville dans la presse



sur le site 94 Citoyens

Municipales Afortville : Guy Mouney lance sa liste LO avec Mai Tran


Guy MouneyAncien ouvrier de la métallurgie, Guy Mouney indique avoir déposé une liste Lutte ouvrière menée avec Maï Tran, institutrice aux municipales d’Alfortville. 
Guy Mouney est déjà conseiller municipal d’opposition. En 2008, il avait obtenu un siège dès le premier tour (remporté par le député-maire PS de l’époque, René Rouquet), ralliant  5, 29% des suffrages (650 voix).  Le parti de Nathalie Arthaud qui défend « le camp des travailleurs » a pour l’instant annoncé deux listes dans le département, la seconde étant à Ivry-sur-Seine.

mardi 18 février 2014

Les listes Lutte Ouvrière aux élections municipales

Communiqué de Lutte Ouvrière
  • Il y aura environ 200 listes Lutte Ouvrière aux prochaines élections municipales. Toutes ces listes seront intitulées : « Lutte Ouvrière - Faire entendre le camp des travailleurs ».
  • Les candidats de Lutte Ouvrière ne mèneront pas une campagne sur les problèmes municipaux car aucun des problèmes essentiels des couches populaires n’est un problème local et aucun ne peut se résoudre à l’échelle municipale. L’augmentation continuelle du chômage, le recul du pouvoir d’achat, la dégradation des conditions de vie dans les quartiers ouvriers, tout cela est le fruit des attaques du grand patronat et du gouvernement à son service contre les travailleurs pour maintenir les profits capitalistes dans cette période de crise économique.
  • Ces listes feront entendre une opposition ouvrière à la politique du gouvernement qui applique toutes les volontés de la classe capitaliste. Lutte Ouvrière interviendra dans la campagne électorale pour faire connaître et populariser des objectifs qui devront être ceux des luttes ouvrières à venir pour stopper la dégradation des conditions d’existence des travailleurs. Imposer l’interdiction des licenciements, la répartition du travail entre tous les salariés sans perte de salaire et l’indexation des salaires et des pensions sur les prix, constituent l’essentiel de ces objectifs. Il faut aussi que les comptes des grandes entreprises et des grandes banques soient rendus publics, pour que toute la population puisse voir où va l’argent.









  • Ce programme que les candidats de Lutte Ouvrière défendront à l’occasion de ces élections municipales le sera également par Lutte Ouvrière lors des élections européennes qui suivront. La politique du gouvernement du Parti socialiste, parce qu’elle déçoit et démoralise les travailleurs, parce qu’elle frappe toutes les couches de la population en dehors des riches, fait le lit des courants et partis de droite et d’extrême droite.
  • Il est essentiel qu’une opposition à la politique gouvernementale se situant exclusivement dans le camp des travailleurs, relevant le drapeau de la lutte de classe, se fasse entendre.

dimanche 16 février 2014

La liste LUTTE OUVRIERE Faire entendre le camp des travailleurs dans la presse

Le Parisien Val-de-Marne

Municipales à Alfortville : le conseiller municipal Lutte ouvrière repart

Publié le 14 févr. 2014, 07h00
   Il y aura bien une liste aux municipales à Alfortville (Val-de-Marne). C'est le conseiller municipal Guy Mouney, retraité de la métallurgie qui mènera à nouveau la liste. 
   En 2008, Lutte ouvrière s'était associée avec la LCR et d'anciens communistes qui avaient refusé l'alliance avec le . Cette fois, l'équipe composée « ni d'homme de la ni de grands patrons, mais des salariés du privé et du public, des travailleurs en activité, des travailleurs au chômage, des retraités. 
   Des candidats unis par la volonté de faire entendre le camp des travailleurs », précise le candidat, pour « dénoncer la politique du gouvernement et du Parti socialiste ».

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94 Citoyens

Alfortville

Municipales Val de Marne : Lutte ouvrière présentera plusieurs listes

Lutte Ouvriere Banquet 2014     Lutte Ouvrière, qui a réuni son banquet de rentrée ce samedi 8 février dans les salons du Moulin Brûlé de Maisons-Alfort en compagnie du chercheur Marc Peschanski et du délégué CGT Jean-Pierre Mercier, devrait présenter plusieurs listes aux municipales dans le Val de Marne.
    D’ores et déjà, Guy Mouney, déjà conseiller d’opposition à Alfortville, annonce avoir bouclé sa liste pour 2014.


samedi 15 février 2014

Compte rendu Conseil municipal Alfortville 13 Février 2014 : Débat Orientation Budgétaire

  L'essentiel de ce conseil était consacré au débat d'orientation budgétaire. Chaque parti représenté au conseil a eu un temps d'intervention pour une déclaration. Ci dessous, ce que j'ai déclaré au nom de Lutte Ouvrière.

   Devant la mairie, à l'entrée du conseil à 18H30 des parents et enseignants s'étaient rassemblés pour manifester leur opposition à la réforme des rythmes scolaires.
 
Voir à ce propos l'article du journal Le Parisien reproduit ici.

"Alfortville : les parents rassemblés contre les rythmes scolaires

Éléonore Sok-Halkovich | Publié le 14 févr. 2014, 07h00


Alfortville, jeudi soir. Une trentaine de personnes ont exprimé leur mécontentement pendant que les élus siégeaient pour la dernière fois de la mandature.
Alfortville, jeudi soir.Une trentaine de personnes ont exprimé 
leur mécontentement pendant que les élus siégeaient pour 
la dernière fois de la mandature. (LP/É.S-H)



«On ne lâche rien », c'est le mot d'ordre des parents d'élèves contre la réforme des rythmes scolaires prévue par le maire d'Alfortville (Val-de-Marne), Luc Carvounas (). Une trentaine d'entre eux étaient réunis jeudi soir pour manifester devant la mairie, à l'occasion du dernier conseil municipal avant les de mars.
Tandis que les élus débattaient des orientations budgétaires, les parents d'élèves ont tenté de se faire entendre à renfort de concert casseroles. La police leur a intimé l'ordre de faire moins de bruit, alors que leur n'avait pas été déclarée. « Si je suis ici ce soir c'est surtout car il n'y a aucun dialogue avec le maire qui refuse de nous recevoir », déplore une mère. « Dans l'emploi du temps de mon fils, deux heures seront totalement perdues pour l'enseignement car elles seront réparties sur deux après-midi, de 14 heures à 15 heures, pointe ce père. Croyez-vous que ce soit une heure pour mener un programme ? J'ai peur que mon fils essuie les plâtres de cette réforme. »
Pour cet autre père d'un garçon de petite section à la maternelle Henri-Barbusse, ce qui pose le plus problème, c'est « le contenu des activités périscolaires et l'organisation des déplacements entre les différents lieux ».
Une dizaine de manifestants ont participé au conseil, avant de quitter la salle, lorsque le maire a déclaré que la réforme serait maintenue. Ils se réservent la possibilité de nouvelles actions."


Débat Orientation budgétaire 2014 Alfortville Guy Mouney Lutte Ouvrière

 Cette année encore le rapport pour le débat d’orientation budgétaire ne parle que d’efforts à faire pour la population.
Quand le gouvernement de droite était aux commandes vous dénonciez les politiques d’austérité qui nous étaient imposées.
Depuis deux ans que la gauche gouverne vous justifiez les mêmes politiques mises en œuvre aujourd’hui.
Mais pour les classes populaires, que ce soit avec Hollande ou Sarkozy, rien n’a changé. Les riches sont encore plus riches et le gouvernement fait les poches des travailleurs pour multiplier les cadeaux au grand patronat.
Après le crédit impôt compétitivité emploi d’un montant de 20 Milliards, Hollande a annoncé la fin des cotisations patronales aux allocations familiales, soit 35 milliards de plus qui iront augmenter les bénéfices des actionnaires des grands groupes sans qu’en contrepartie un emploi soit créé.
Et pour financer ces cadeaux, ce sont les travailleurs, les retraités, les petites gens qui sont rançonnés.
Au 1er Janvier, c’était la hausse de la TVA. Pourquoi cette hausse ? Eh bien pour financer de nouvelles mesures d’aide au patronat.
Les 50 milliards d’euros d’économies sur les dépenses de l’Etat qui sont annoncées, vont signifier moins d’argent pour les services publics, la maladie, les hôpitaux, les transports, l’enseignement, le logement.
Les collectivités territoriales, et en particulier les communes seront-elles aussi touchées. Il y aura encore moins d’argent pour les équipements, le fonctionnement courant et pour faire face aux dépenses sociales de plus en plus importantes en raison de l’augmentation du chômage et de la pauvreté.
Alors que les groupes capitalistes déclarent leurs bénéfices dans les paradis fiscaux pour ne pas payer d’impôts, ce sont sur les milieux populaires : travailleurs salariés, retraités, familles, petits commerçants et artisans que repose l’essentiel des recettes fiscales.
Les travailleurs d’Alfortville, comme la plupart des habitants des banlieues doivent subir au quotidien la galère des transports sur la ligne D du RER, ou les embouteillages permanents pour se rendre à leur travail. Faute de crédits les travaux envisagés sont toujours repoussés.
A la galère des transports s’ajoutent pire encore celle de l’emploi, avec le chômage qui augmente, les entreprises qui ferment ou licencient en masse comme Mory-Ducros dernièrement (le site d’Alfortville est touché aussi), les emplois précaires, les bas salaires et pensions.
La crise du logement s’aggrave, les loyers flambent, les logements indignes ou insalubres se multiplient par manque de travaux d’entretien. La municipalité met certes sur pied un plan d’amélioration de l’habitat sur le secteur Nord mais les aides de l’Etat manquent.
Les crédits consacrés au logement sont en baisse depuis des années. L’agence de rénovation urbaine diminue ses subventionnements. Les opérations de renouvellement urbain prennent du retard ou sont annulées et leur coût repose sur les communes et les bailleurs sociaux qui au final font payer les locataires : les charges augmentent, les travaux d’entretien des logements ne sont pas faits.
En ce moment même alors que l’hiver n’est pourtant pas très rigoureux, les logements de Valophis et de Logial à Alfortville ne sont pas chauffés normalement et sont gagnés par l’humidité.
La réforme des rythmes scolaires, imposées par le gouvernement sans véritable moyens, et que la municipalité veut mettre en œuvre après un simulacre de concertation avec les parents et enseignants va se traduire selon les propres termes du rapport de présentation par un surcroît de dépenses pour la commune. « Le chiffrage des dépenses et recettes nouvelles est en cours d’évaluation » nous dit-on.
Il n’y a pas besoin de lire dans le marc de café pour savoir qui va payer le coût de cette réforme, qui d’ailleurs vu les conditions dans lesquelles elle se réalise n’améliore pas le bien-être des élèves, contrairement à ce qui nous est dit.
Un certain nombre de personnes sont présentes à ce conseil municipal ce soir parce qu’elles sont opposées, ou tout au moins insatisfaites de ce projet. Je pense que le conseil municipal devrait les entendre et prendre en compte leur inquiétude.
Les salariés employés par la municipalité sont aussi les victimes de la dégradation générale des conditions de travail : précarité des emplois dans la restauration scolaire, dans les crèches, les maisons de retraite, pour les Atsem. Pressions sur le personnel pour augmenter la charge de travail avec parfois sanctions et procédures disciplinaires comme pour les jardiniers, ou dans les cantines.
L’ensemble du monde du travail subit la guerre que lui mène le patronat pour réduire le cout du travail, c'est-à-dire la baisse la masse salariale.
C’est pourquoi les travailleurs doivent relever la tête en se donnant pour objectif d’imposer :

·   L’interdiction des licenciements avec partage du travail

· L’augmentation générale des salaires et pensions et leur garantie par l’indexation sur les prix

·  Le contrôle sur les comptes des entreprises, des banques, des institutions financières pour la transparence des circuits de l’argent.
 Ce sont seules de telles mesures qui peuvent préserver le niveau de vie de la population laborieuse.

jeudi 13 février 2014

Une liste Lutte Ouvrière faire entendre le camp des travailleurs, aux élections municipales d’Alfortville

    Cette liste conduite par Guy Mouney, retraité de la métallurgie, actuel conseiller municipal Lutte Ouvrière, et Mai Tran, institutrice est maintenant bouclée.

   Elle ne comprend ni d’homme de la finance ni de grands patrons, mais des salariés du privé et du public, des travailleurs en activité, des travailleurs au chômage, des retraités. Des candidats unis par la volonté de
faire entendre le camp des travailleurs.

     Le gouvernement Hollande, comme son prédécesseur est au service du patronat et fait payer la crise à la population. Les licenciements continuent, le chômage et la misère montent, les services publics sont attaqués, la TVA augmente... pendant ce temps les profits des banques et des grands groupes flambent !

    Les travailleurs doivent s’organiser autour d’un programme de défense de leurs intérêts et préparer les luttes qui seules permettront d’inverser la situation.

     A l’occasion des élections municipales qui auront lieu au mois de Mars une véritable opposition à ce gouvernement, dans le camp des travailleurs, doit se faire entendre. La liste Lutte Ouvrière le permettra.