Durant la COP21, le gouvernement a, au nom de l'état
d'urgence, assigné à résidence sept militants écologistes. N'ayant rien à
voir avec le terrorisme, ils ont saisi le Conseil d'État... qui a
approuvé le gouvernement, bref, l'arbitraire policier.
Ces écologistes en font les frais. Demain, à qui le tour ? Aux grévistes et salariés combattifs ?
Ce que vise le gouvernement quand il veut inscrire l'état d'urgence
dans la Constitution, c'est empêcher l'expression de toute voix
discordante.
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