Au magasin
Carrefour du centre commercial Belle-Épine, à Thiais dans le
Val-de-Marne, la direction vient d’infliger des licenciements ainsi que
des journées de mise à pied au secteur Caisse pour des motifs totalement
arbitraires.
Depuis plusieurs années, en cas d’annulation par un client de son achat, les caissiers doivent appeler un arrière de caisse qui utilise un code pour opérer l’annulation.
Mais, faute d’effectifs suffisants d’arrières de caisse, qui doivent intervenir sur les trois étages du magasin, la caisse est alors bloquée et la file d’attente s’allonge. C’est pourquoi des caissiers ont directement reçu et mémorisé ces codes, souvent de deux chiffres, et les ont utilisés pour éviter un blocage de leur caisse.
C’est la raison pour laquelle, alors que Carrefour n’a pas perdu un centime dans cette affaire, la direction a prononcé le licenciement sans préavis ni indemnités d’une caissière travaillant depuis quatre ans dans le magasin ! Enfin, elle a prononcé des journées de mise à pied pour deux autres collègues.
Ces licenciements et sanctions sont scandaleux, car tous ces collègues ont fait ce qu’ils pouvaient pour pallier les défaillances de la direction, en particulier le manque d’effectifs.
Pour complément d'info : article journal Lutte Ouvrière
Depuis plusieurs années, en cas d’annulation par un client de son achat, les caissiers doivent appeler un arrière de caisse qui utilise un code pour opérer l’annulation.
Mais, faute d’effectifs suffisants d’arrières de caisse, qui doivent intervenir sur les trois étages du magasin, la caisse est alors bloquée et la file d’attente s’allonge. C’est pourquoi des caissiers ont directement reçu et mémorisé ces codes, souvent de deux chiffres, et les ont utilisés pour éviter un blocage de leur caisse.
C’est la raison pour laquelle, alors que Carrefour n’a pas perdu un centime dans cette affaire, la direction a prononcé le licenciement sans préavis ni indemnités d’une caissière travaillant depuis quatre ans dans le magasin ! Enfin, elle a prononcé des journées de mise à pied pour deux autres collègues.
Ces licenciements et sanctions sont scandaleux, car tous ces collègues ont fait ce qu’ils pouvaient pour pallier les défaillances de la direction, en particulier le manque d’effectifs.
Article publié sur site régional Lutte Ouvrière Ile de France
Pour complément d'info : article journal Lutte Ouvrière
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