mardi 7 octobre 2014

Quelques brèves d'actualité

Que les banquiers remboursent !
 
On voit qu'en 2008 la dette a explosé suite à la crise des subprimes
  La dette de la France a dépassé 2 000 milliards d'euros. Cela équivaut à peu près à toute la production d'une année. Et rien que pour payer les intérêts de cette dette qui ne fait que grossir, le pays dépensera cette année 45 milliards.
    En dix ans, cette dette a doublé. Elle avait grossi de 600 milliards sous Sarkozy. La crise bancaire de 2008 et le renflouement des banques sont passés par là. Et bien que ce soit les banques, les groupes financiers et industriels qui aient pompé le budget de l'État, c'est la population qui paye la note.
    Les banquiers ont fait les dettes, à eux de les rembourser !



Tout augmente
    Pendant que le gouvernement claironne qu'il va baisser les impôts d'une partie des contribuables, tout le reste augmente. Ainsi la redevance audiovisuelle va grimper de 3 euros, le gazole va augmenter de 4 centimes par litre et le prix du timbre-poste bondira jusqu'à 15 % de plus. Et ce ne sont là que des exemples.
    En réalité, l'État ne cesse de nous pressurer, et ce n'est pas fini. Il pique l'argent dans notre poche, pour le donner au patronat. Faudrait faire cesser cela.


Matraquage
    Le gouvernement a annoncé, dans son projet de budget pour 2015, une diminution de 3,7 milliards d'euros des dotations aux collectivités locales. Les régions, départements et communes devront donc dépenser moins, peut-être licencier des employés, augmenter les impôts locaux, geler des travaux prévus, etc.
    On parle d'économies qu'il faudrait faire, mais il existe un poste pour lequel il n'y a jamais d'économies : les aides au grand patronat. Et cela déséquilibre tout le reste.

De pire en pire
    Dans son discours de rentrée, Sarkozy a proposé de supprimer la garantie de l'emploi des fonctionnaires, de leur imposer des contrats de cinq ans, histoire de niveler tous les salariés vers le bas.
    Les contrats précaires touchent déjà près d'un salarié sur cinq et les conditions de travail empirent pour tous.
    Sarkozy annonce sa ligne : cap à droite Cela ne surprendra personne. Malheureusement, la gauche au pouvoir en fait déjà presqu'autant.

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