Les Palestiniens de Gaza soumis au terrorisme de
l’État israélien
Les bombardements israéliens se sont poursuivis ce week-end sur Gaza,
faisant, pour la seule journée de dimanche, 31 victimes, en majorité des femmes
et des enfants. Depuis le début des opérations militaires israéliennes, près
d’une centaine de Palestiniens ont trouvé la mort.
Ce déchaînement de violence et de terreur de la part de l’État israélien ne
peut que susciter l’indignation et la solidarité avec les Palestiniens.
Le
gouvernement israélien prétend chercher à « garantir la sécurité »
des Israéliens. Mais cela fait des années que les habitants de Gaza sont soumis
à un terrible blocus et que, régulièrement, ils doivent subir des bombardements
meurtriers.
Cette politique qui nie les droits nationaux des Palestiniens n’a
fait que maintenir les deux peuples dans une impasse sanglante. Tant il est
vrai qu’un peuple qui en opprime un autre ne peut vivre ni libre ni en
sécurité.
Impôts: Qui ne paye pas et qui paye ?
Une enquête des médias montre que des sociétés multinationales échappent aux impôts grâce à des combines plus ou moins légales entre plusieurs pays. C'est archi répandu.
Quant aux entreprises un peu moins importantes, elles bénéficient d'une multitude de dégrèvements qui les mettent plus ou moins à l'abri du fisc.
Il n'y a que la population qui reste taillable et corvéable à merci. Même non imposable, elle paye la TVA : et ça fait près de 20 % sur tous ses achats !
Coût de pompe
La baisse infime des carburants décidée fin août par le gouvernement prendra fin d'ici quelques jours. Les prix à la pompe risquent donc d'augmenter et, vu le recul général du pouvoir d'achat des salariés, le gouvernement aimerait trouver un "truc" pour faire passer la pilule.
On parle de "chèques carburant" qui iraient aux titulaires de la CMU, donc aux plus démunis. Mais la très grande majorité des salariés devraient payer plein pot.
Et tout ça parce que le gouvernement n'ose même pas prendre un peu sur les énormes bénéfices des compagnies pétrolières.
Une enquête des médias montre que des sociétés multinationales échappent aux impôts grâce à des combines plus ou moins légales entre plusieurs pays. C'est archi répandu.
Quant aux entreprises un peu moins importantes, elles bénéficient d'une multitude de dégrèvements qui les mettent plus ou moins à l'abri du fisc.
Il n'y a que la population qui reste taillable et corvéable à merci. Même non imposable, elle paye la TVA : et ça fait près de 20 % sur tous ses achats !
Coût de pompe
La baisse infime des carburants décidée fin août par le gouvernement prendra fin d'ici quelques jours. Les prix à la pompe risquent donc d'augmenter et, vu le recul général du pouvoir d'achat des salariés, le gouvernement aimerait trouver un "truc" pour faire passer la pilule.
On parle de "chèques carburant" qui iraient aux titulaires de la CMU, donc aux plus démunis. Mais la très grande majorité des salariés devraient payer plein pot.
Et tout ça parce que le gouvernement n'ose même pas prendre un peu sur les énormes bénéfices des compagnies pétrolières.
L'IVG interdite en Irlande : une loi qui tue
Des milliers
d’Irlandais ont manifesté samedi, à Galway, en Irlande, pour rendre
hommage à une jeune femme de 31 ans, morte dans des conditions
épouvantables, et pour exiger un véritable droit à l’interruption
volontaire de grossesse.
Alors qu’elle était en train de faire une fausse couche, Savita Halappanavar s’est présentée à l’hôpital. Mais les médecins ont refusé de pratiquer l’avortement, car le cœur du fœtus battait encore, sacrifiant ainsi Savita, qui est décédée quelques jours plus tard d’une septicémie.
Cette mort a soulevé émotion et indignation devant une législation moyenâgeuse directement héritée de l’Église catholique, qui fait que l’avortement est interdit dans ce pays. Ces prétendus défenseurs de la vie humaine ont laissé mourir une femme. C’est plus que de la bêtise, c’est un crime.
Alors qu’elle était en train de faire une fausse couche, Savita Halappanavar s’est présentée à l’hôpital. Mais les médecins ont refusé de pratiquer l’avortement, car le cœur du fœtus battait encore, sacrifiant ainsi Savita, qui est décédée quelques jours plus tard d’une septicémie.
Cette mort a soulevé émotion et indignation devant une législation moyenâgeuse directement héritée de l’Église catholique, qui fait que l’avortement est interdit dans ce pays. Ces prétendus défenseurs de la vie humaine ont laissé mourir une femme. C’est plus que de la bêtise, c’est un crime.
Après le décès de Savita Halappanavar, manifestation de colère devant le parlement |
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