Lutte Ouvrière à votre rencontre Samedi 17 Novembre Métro Ecole Vétérinaire

     

Derrière la compétitivité, il n’y a pas l’emploi mais les profits

 

 

   Avec la publication du rapport Gallois, le gouvernement a élevé la compétitivité au rang de grande cause nationale.
    Comme d’habitude, le gouvernement s’apprête à faire des cadeaux au patronat au nom de l’emploi.

   Car si le gouvernement remplace « le choc de compétitivité » de Gallois, par « un pacte », il ne fait pas de doute que le grand patronat va être bien servi. Le gouvernement supprimera-t-il 10, 20, 30 milliards de cotisations patronales ?
   Avec quels impôts compensera-t-il le manque à gagner ? On le saura bientôt. Mais il est sûr que les travailleurs paieront ce qui sera cédé au patronat.

   Et les milliards iront sur les comptes en banque des actionnaires et dans la spéculation parce que, dans cette période de crise, les patrons préfèrent spéculer qu’investir dans la production.
   Quant aux licenciements et aux fermetures d’usines, ils se poursuivront. Sous couvert de grande cause nationale, les mesures de compétitivité serviront la cause patronale !

     Pour le patronat, ce sont toujours les salaires qu'il faut baisser, ce sont toujours les travailleurs qui doivent faire des efforts.

      Les travailleurs n'ont pas à se sacrifier au nom de la compétitivité. Ils doivent mener leur propre combat pour défendre leur emploi et le pouvoir d'achat de leur salaire ou de leur retraite.
    Et au-delà de ce combat immédiat, ils doivent affirmer leur rejet de cette économie basée sur la concurrence et la compétition qui conduit à l’anarchie, à la violence et aux guerres.

    Les militants de Lutte Ouvrière vous proposent de débattre de ces questions. 

Nous serons Samedi 17 Novembre dans plusieurs points de Maisons-Alfort,  

notamment à la sortie du métro Ecole Vétérinaire 

de 10H30 à 12H30 et de 15H à 17 H.