Déclaration de Guy Mouney, conseiller municipal, élu de la liste unis pour les luttes sociales et les solidarités, soutenue par Lutte Ouvrière, la LCR, des militants du PCF.
Les électeurs qui ont voté pour la liste « Unis pour les luttes sociales et les solidarités », que j’ai conduite, ont tenu à affirmer de cette manière leur protestation contre la situation de plus en plus insupportable que doivent affronter les milieux populaires.
J’y associe aussi les voix qui se sont portées sur les deux autres listes d’extrême gauche.
Je souhaite donc remplir mon mandat en m’efforçant de faire entendre la voix des travailleurs, des mal logés et des plus démunis qui sont victimes des attaques du patronat, des nantis et du gouvernement à leur service.
Les électeurs qui ont voté pour la liste « Unis pour les luttes sociales et les solidarités », que j’ai conduite, ont tenu à affirmer de cette manière leur protestation contre la situation de plus en plus insupportable que doivent affronter les milieux populaires.
J’y associe aussi les voix qui se sont portées sur les deux autres listes d’extrême gauche.
Je souhaite donc remplir mon mandat en m’efforçant de faire entendre la voix des travailleurs, des mal logés et des plus démunis qui sont victimes des attaques du patronat, des nantis et du gouvernement à leur service.
Les représentants des partis de droite qui siègent à ce conseil se situent dans le soutien aux politiques antisociales menées au gouvernement depuis plusieurs années. Or les problèmes que rencontrent les habitants d’Alfortville en sont la conséquence directe .
Mais je n’apporte pas pour autant ma voix au député maire René Rouquet dont le programme qu’il a défendu lors de ces élections municipales reste dans la continuité de ses mandatures précédentes. « Un art de vivre ensemble » ne prend pas suffisamment en compte les difficultés quotidiennes liées à la baisse du pouvoir d’achat, au chômage, à la crise du logement, qui sont celles de la majorité de la population.
Mais je n’apporte pas pour autant ma voix au député maire René Rouquet dont le programme qu’il a défendu lors de ces élections municipales reste dans la continuité de ses mandatures précédentes. « Un art de vivre ensemble » ne prend pas suffisamment en compte les difficultés quotidiennes liées à la baisse du pouvoir d’achat, au chômage, à la crise du logement, qui sont celles de la majorité de la population.
Je suis tout à fait conscient que tout ne peut pas être réglé au niveau d’une commune, que les communes subissent les politiques des gouvernements qui leur transfèrent des charges mais pas les moyens, et contribuent de ce fait à les mettre en état d’asphyxie.
Malgré tout une commune peut avoir une politique qui vise à s’opposer aux régressions sociales et à protéger les plus pauvres.
C’est pourquoi j’appuierai dans ce conseil municipal les mesures qui iront dans le sens de l’intérêt des travailleurs et des petites gens, mais je m’opposerai à celles qui iront en sens contraire.
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