La manifestation partira de 14H Gare de l'Est en direction de Nation .
Pour s'y rendre de nombreux cars spéciaux sont prévus de la plupart des villes du Val de Marne.
Pour Alfortville un car partira à 13H de l'école Maternelle Rue Victor Hugo (Près de la Place Allende, Poste Centrale).
Retenir places en téléphonant :
Guy Mouney 06 87 80 68 06
vendredi 29 novembre 2019
jeudi 21 novembre 2019
Réunion sur la crise climatique et le capitalisme Samedi 30 Novembre
· Samedi 30 Novembre ,après midi, à 15H réunion sur le
thème "Crise climatique : renverser le
capitalisme pour offrir un avenir à l'humanité"
Salle du StadeCubizolles 25 bis
Avenue du Général de Gaulle Maisons Alfort
Samedi 30
Novembre,matin nous serons dans les rues
d'Alfortville, Place Allende, Place de la Mairie de 10H15à 12H15.
·
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Actualité locale
mercredi 20 novembre 2019
Liste Lutte Ouvrière Elections Municipales 2020
Prochaines élections municipales 15 et 22 Mars 2020
A Alfortville,
comme à l’échelle du pays, les conditions de vie des classes populaires sont de
plus en plus difficiles du fait des reculs sociaux qui nous sont imposés :
précarité de l'emploi, bas salaires, pensions et allocations de misère,
dégradation des services publics nécessaires à la population, santé,
enseignement, transports.
Pendant
que l'énorme majorité d'entre nous galère pour vivre, les riches vivent dans
l'opulence.
Les élections municipales doivent être l'occasion
pour le monde du travail de se regrouper autour d'un programme de défense de
ses intérêts face à la rapacité du patronat, de la classe capitaliste.
Pour "faire
entendre le camp des travailleurs", Lutte Ouvrière constitue une liste
à Alfortville . Nous faisons appel à tous ceux qui sont intéressés et qui
partagent ces idées là , à prendre contact avec nous pour nous aider.
La voix des travailleurs doit se faire entendre !
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Actualité locale
mardi 19 novembre 2019
Le 5 décembre, ensemble, engageons le combat !
Editorial des bulletins d'entreprise
18/11/2019
Cela
fait trop longtemps que nous, travailleurs, subissons sans rien dire
les coups du grand patronat et de ses valets politiques. Le moment est
venu de dire notre ras-le-bol. Ras-le-bol des bas salaires, ras-le-bol
des suppressions d’emplois et de la précarité, ras-le-bol des conditions
de travail de plus en plus dures ! Et stop à la démolition des
retraites ! Que nous soyons salariés du privé ou du public, nous avons
la possibilité d’exprimer cette colère jeudi 5 décembre. Ne ratons pas
cette occasion !
Le gouvernement ne veut retenir du 5 décembre que les appels à la
grève reconductible à la SNCF et à la RATP. Quant aux médias, c’est tout
juste s’ils n’en parlent pas comme d’une journée de défense des régimes
spéciaux. Mais s’il s’agit bien d’un appel sur les retraites, il est
interprofessionnel et concerne le privé comme le public. Car cette
réforme nous attaque tous.
Le gouvernement a abandonné l’idée de fixer un âge pivot à 64 ans,
mais la logique est celle-là : nous faire travailler plus longtemps pour
des pensions réduites. Il faut s’opposer à cette nouvelle attaque sur
les retraites. Et profitons du 5 décembre pour dire tout ce que nous
avons sur le cœur !
Depuis des années, nous serrons les dents dans l’espoir de jours
meilleurs. Mais l’attente et la passivité ne payent pas. Les reculs
succèdent aux reculs. Tout y passe : salaire, emploi, horaires, congés,
allocations chômage, accès aux services publics et maintenant... les
retraites.
Les jours meilleurs n’existent que pour la minorité capitaliste qui
encaisse le fruit de notre travail. Elle prospère d’autant plus qu’elle
accentue l’exploitation et son parasitisme sur la société. Pendant que
les milliards s’accumulent à un pôle de la société, tous les services
utiles à la population craquent. C’est vrai pour les transports,
l’éducation ou la santé.
Dans les hôpitaux, les conditions de travail sont si dégradées et les
salaires si bas que les établissements ne parviennent plus à garder le
personnel nécessaire. Dans les Ehpad, pas une semaine ne passe sans
qu’un nouveau scandale lié au manque de personnel ne soit dévoilé. Dans
les universités, la précarité des étudiants est fréquente : l’un d’entre
eux, ne pouvant poursuivre ses études, a fait le geste désespéré de
s’immoler à Lyon. Tout cela ne peut plus durer !
Il y a un an, des dizaines de milliers de femmes et d’hommes
enfilaient leur gilet jaune pour dénoncer cette société où il n’y en a
que pour ceux qui ont de l’argent. Comme beaucoup d’entre eux l’ont dit
et répété, à force de tirer sur la corde, elle finit par casser. C’est
ce que nous vivons et ressentons tous, chacun de notre côté.
Pendant trop longtemps, nous nous sommes sentis démunis, isolés,
incapables de riposter. Ces dernières semaines, les coups de colère et
les manifestations se sont multipliés. Des cheminots ont fait grève,
parfois sans préavis, et le personnel hospitalier a manifesté
massivement jeudi 14. Ces mobilisations montrent que notre camp dispose
d’une force de frappe importante. Si nous nous unissons et marchons d’un
même pas, cette force de frappe sera irrésistible.
Par leur capacité à bloquer la vie sociale, les cheminots comme les
agents des services publics jouent un rôle d’entraînement dans les
mouvements, en même temps qu’ils exercent une pression très importante
sur le gouvernement. Quant aux travailleurs du privé, ils sont les seuls
à pouvoir mettre le grand patronat sous pression en arrêtant la
fabrique à profits. Alors oui, notre force est collective et il ne faut
pas nous laisser diviser.
Plus on approche du 5 décembre, plus le gouvernement se montre
fébrile. Il évoque la « clause du grand-père », qui consisterait, pour
nous faire accepter la réforme des retraites, à ne l’appliquer qu’à nos
enfants. Quel cynisme ! Les travailleurs n’accepteront pas de condamner
les plus jeunes à mourir au travail. Plus que tout, le gouvernement
craint que la contestation gagne l’ensemble du monde du travail. Il sait
que dans ce cas, il n’aura plus qu’à remballer sa réforme des
retraites. Alors oui, la balle est dans notre camp.
Tout ne se jouera pas en une seule journée. Mais il faut un début à
tout. Et c’est la réussite de cette journée qui donnera l’élan
nécessaire à ceux qui se posent le problème de poursuivre la grève.
Alors, quelles que soient les arrière-pensées des organisations
syndicales, nous devons nous lancer dans le combat.
Nous nous ferons craindre du gouvernement si nous sommes unis et
déterminés. Retrouvons confiance dans nos forces collectives !
Faisons-nous respecter ! Le 5 décembre, tous en grève et en
manifestation !
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